Évolution des troupes et régiments de cavalerie de Montréal durant la période de 1812 à 2020
Note 1. En 1850, le gouvernement britannique a décidé que le gouvernement provincial local devrait assumer une plus grande part du coût de la défense du Canada. En conséquence, il définance la cavalerie provinciale. Il a fallu cinq ans avant que le gouvernement provincial adopte la Militia Act de 1855, qui assumait une plus grande part de responsabilité en matière de défense et créait les troupes de cavalerie volontaire. Entre-temps, d’anciens membres de la Royal Montreal Cavalry ont rétabli la troupe en tant qu’unité hybride sédentaire-volontaire. Leur prévoyance a assuré qu’il y avait un groupe de soldats de cavalerie disponible pour la formation d’une nouvelle troupe de volontaires en 1855.
Note 2. La lignée n’est suivie par la Direction de l’histoire et du patrimoine de la Défense nationale qu’une fois qu’une unité a atteint le statut de régiment. Cela n’empêche pas les unités de reconnaître et d’honorer les activités des unités plus petites avant cette date.
Note 3. D’autres troupes existaient de temps à autre, mais leur existence n’est pas démontrée dans ce diagramme car elle était soit très brève, soit moins importante pour l’évolution globale des régiments impliqués. Celles-ci incluraient la St Johns Troop, la deuxième troupe de cavalerie d’Argenteuil, les Montreal Dragoons, la troupe d’Ormstown et peut-être d’autres. L’accent a été mis sur les unités qui ont eu un impact matériel sur l’évolution des régiments.
Note 4. Après la guerre, en 1919, la 1st Canadian Motor Machine Gun Brigade est démobilisée à Montréal. Peu de temps après, la 1st Motor Machine Gun Brigade a été établie en tant qu’unité de milice, avec son quartier général à Montréal.
Veuillez consulter notre résumé historique pour de plus amples détails.
4185, Côte-des-neiges
Montréal, Qc, H3H-1X2